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semaine 4 20/10/08

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Message  vanessa Mer 22 Oct - 12:00

*Comparabilité de ces indicateurs :
Pour assurer la comparabilité de ces indicateurs, les pays qui participent à ces programmes (IEM,…) adoptent l’ISCED (international standard classification of education) ou la CITE (classification internationale type de l’éducation). C’est un instrument de classement conçue dans les années 1970 permettant de rassembler, de compiler et de mettre en forme des statistiques éducatives tant dans les différents pays que sur le plan international. En 1997, cette classification est révisée, elle se nomme désormais CITE 1997.
Cette CITE porte sur 2 variables de classification : les niveaux d’éducation et les domaines de l’éducation.
*Définition du terme éducation par la CITE :
La CITE ne prétend pas fournir une définition complète de l'éducation. D'ailleurs, quel que soit le pays considéré, l'interaction des traditions culturelles, des coutumes locales et des conditions socio-économiques aboutit à un concept d'éducation propre à ce pays, et il serait inutile de vouloir imposer une définition universelle. Mais, il est nécessaire de définir avec précision la portée et le champ d'application des activités éducatives.
Terme éducation= s'entend de toutes les activités volontaires et systématiques répondant à des besoins d'apprentissage. Il est admis que l'éducation comporte une communication organisée et durable destinée à susciter un apprentissage.
L’apprentissage renvoie à toute amélioration du comportement, de l'information, du savoir, de la compréhension, des attitudes, des valeurs ou des compétences. Il recouvre donc l'ensemble des activités visant à apprendre et à acquérir un savoir-faire; il ne se limite pas au sens courant français plus orienté vers des activités pratiques.
La communication correspond à la relation entre deux ou plusieurs personnes comportant un transfert d'informations (sous forme de messages, d'idées, de connaissances, de stratégies, etc.). La communication peut être verbale ou non verbale, directe/face à face ou indirecte/à distance et emprunter des voies et moyens divers.
La communication est organisée dans le sens où elle est conçue pour se dérouler selon un ordre, conformément à des objectifs explicites ou implicites. Cela implique l'existence d'un prestataire (une ou plusieurs personnes, ou un organisme) qui met en place le cadre d'apprentissage et une méthode d'enseignement au travers desquels s'organise la communication. La méthode repose généralement sur une personne qui communique ou diffuse les connaissances et les compétences afin de susciter l'apprentissage, mais elle peut également être indirecte/inanimée, par exemple un élément d'un logiciel, un film, une bande magnétique, etc.
La communication est aussi durable, ce qui signifie que l'expérience d'apprentissage se déroule dans la durée et la continuité.
*Définition d’une unité fondamentale d’éducation :
Le programme éducatif est définit en fonction de son contenu comme un ensemble ou une succession d’activités éducatives organisées, en vue d’un objectif pré établi, ou en vue de l’accomplissement d’un ensemble spécifié de tâches éducatives. Si on reconnait que la comparabilité est nécessaire, se pose la question de l’interprétation des indicateurs quand on compare les contextes institutionnels nationaux. Il y a donc des limites à la classification et l'évaluation directes des capacités et des qualifications des participants aux activités éducatives conçues comme difficiles à surmonter car : -il n’y a aucune relation étroite et universelle entre les enseignements auxquels un individu a participer et son bagage réel. Les programmes qu'une personne a suivis ne donnent qu'une première approximation des savoir-faire et des capacités qu'elle a effectivement acquis.
-ça suppose que les activités éducatives auront pour effet d’augmenter les compétences et les capacités d’un individu. Cependant, les programmes éducatifs eux-mêmes ne peuvent, bien souvent, être ordonnés que jusqu'à un certain point : les individus peuvent organiser leurs parcours éducatifs de nombreuses manières (formation horizontale). Une hiérarchie de programmes éducatifs ne peut donc refléter la réalité des systèmes d'éducation que jusqu'à un certain point. Ainsi le programme éducatif au sens qui vient d’être indiquer ne permet pas de rendre compte de certaines activité éducatives comme l’éducation de la petite enfance au sein de la famille qui comporte pourtant une communication organisée et durable.
La CITE se base selon le niveau (1) et selon le domaine d’étude (2).
1 le niveau : la notion de niveau est liée à la progression des expériences d’apprentissages, des capacités sous 2 aspects, ce qu’exige ce programme en termes de niveau à avoir des participants et la finalité de ces programmes. Le niveau est lié à la complexité du contenu du programme.
Cette classification par niveau ne peut pas être réalisée complètement au niveau international car il y a trop d’aspects différents et parce qu’il n’y a pas de normes internationales applicables. De façon empirique, la CITE suppose l’existence de plusieurs critères qui vont aider à indiquer le niveau d’éducation pour classer un programme, la difficulté se pose dans le fait que ces critères doivent se compléter. (Voir tableau : les niveaux d’éducation d’un coup d’œil)
2 le domaine d’étude : il y a 25 domaines d’études avec regroupement et entrecroisement des disciplines.
Etude statistique de l’UNESCO, UIS 2000 porte sur les écoles primaires dans 11 pays d’Amérique latine, d’Asie et d’Afrique du nord, soit 7600 écoles, le but de cette enquête est d’analyser des éléments qui déterminent la qualité de l’enseignement et l’égalité des chances en primaire. C’est un questionnaire posé aux enseignants et directeurs sur le fonctionnement des établissements, sur les méthodes pédagogiques, la condition d’apprentissage, l’aide reçue par les enseignants et le chez d’établissement de l’Etat ou d’organismes.
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Message  celine option3 Dim 2 Nov - 17:31

Il y a plusieurs contraintes à surmonter lorsque l’on met en place les indicateurs. Pour ces indicateurs d’éducation dans le monde il y a donc plusieurs contraintes méthodologiques.

Pour assurer la comparabilité des indicateurs, les pays participent à ces IEM, adoptent l’ISCED (international standards classification of éducation cas classification international de l’éducation) = CITE.

Cette classification à été conçue dans les années 70 sous le titre de CITE pour constitué un instrument de classement permettant de rassembler, compiler et de mettre en forme des statistiques éducatives tant dans les différents pays que sur le plan international.

- En 1975 cette classification est approuvée par la conférence internationale à Genève.
- En 1978 approuvé par la conférence internationale de l’Unesco à paris
- En 1997 on l’actualise, on la révise, elle est désormais nommé la CITE 1997.

Elle porte sur 2 variables de classification ; les niveaux d’éducation et les domaines d’éducation.

Le programme définit le terme éducation : attention ce n’est pas la notion c’est bien le terme le mot en lui-même.
Doc « portée de la CITE »
7. dans le cadre de la cite, le terme éducation s’entend de toutes les activités volontaires et systématiques répondant à des besoins d’apprentissage. L’éducation comporte une communication organisée et durable destinée à susciter un apprentissage.

Unité fondamental de classification : le programme éducatif vont être défini en fonction de leur contenue comme un ensemble ou une succession d’activité éducative organisé en vue d’un objectif préétablie ou en vue de l’accomplissement d’un ensemble spécifié de taches éducatives.

Le rapport 2005 montre que si l’on reconnaît la comparable est nécessaire, se pose la question de l’interprétateur, lorsque l’on compare les contextes internationaux institutionnel.

Le rapport 2006 : on souligne certaines limites difficiles à surmonter : vocabulaire doc7 « des limites signalées »
Exemples : l’autodidacte est il reconnu ? ; Parcours en horizontale.
Il ya certaines difficulté à mesurer des formes éducatives, et même certaines qui relève de le définition CITE. Le programme éducation au sens qui vient d’être indiqué ne permet guerre de rendre compte de certaines activité éducative, qui comporte pourtant une communication organisé et durable destiné à susciter un aprentissage.par ex : l’éducation de la petite enfance au sein de la famille.
C’est la cas aussi d’autre activité éducative pour lequel la notion éducative est applicable mais dont il est d’une part difficile de connaître les participants et d’autre part difficile d’en mesurer les effets, (ex : la radio, les médias, internet dans la forme programmé)

[…] tout en entrant dans le champ d’application de la CITE certains programme ne peuvent pas être classé selon la nomenclature de la CITE par ex : un contenue de cours dispensé via internet qui peut avoir un contenue ordinaire mais ne peut pas être classé.

De manière pratique comment s’y prend t-il, d’une part selon le niveau de classification, et selon le domaine d’étude.
Cette notion de niveau d’étude est liée en gros à la progression des expérience d’apprentissage, à la progression des capacités, à la progression sous 2aspects :
- En termes de niveaux des participants
- Et en même temps la finalité de ces programmes.
Donc d’une manière générale le niveau est lié à la complexité du programme.

Cette classification par niveau ne peut pas être réalisée complètement sur le plan international :
- D’abord car il y a trop d’aspect différents
- Et il n’y a pas de normes internationales applicables.

De façon empirique pour résoudre ce problème, la CITE suppose l’existence de plusieurs critères qui vont aider à indiquer le niveau d’éducation pour classer un programme.
La difficulté se pose dans l’idée que ces critères doivent se compléter. Alors il propose un tableau : doc : « tableau1 les niveaux d’éducations en un coup d’œil. »

[…] il y a 25 domaines, il y a regroupement et entrecroisement des disciplines.

Les mesures sont faite par les analyses nationales ;
UIS= institue statistique de l’unesco : étude dans les années 2000 sur les écoles primaires dans 11 pays, Amérique latine, Asie, Afrique du nord. Ce sont les pays eux mêmes qui on réalisé l’enquête. « A view inside primary school » la finalité était d’analyser les éléments, déterminé la qualité de l’enseignement et l’égalité des chances dans le primaire.

Questionnaire posé aux enseignants et directeur d’école sur le fonctionnement d’établissements, les méthodes pédagogiques, les conditions d’apprentissages, les aide reçu par les enseignants et les chefs d’établissements (organisme).
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