cours semaine5

Donc : école de la rentabilité, école de la société industriel, école pour tous et enseignement secondaire pour tous.

Précisions sur l’enseignement mis en place :
- Les collèges (PECG) prof d’enseignement général de collège, les profs étaient bivalent (primaire et collège) et pour deux disciplines. (on dit monovalent pour 1 disciple)
- CEG et CES ; il y a conjonction des deux pour le général et le secondaire. La différence s’inscrit à l’intérieur de la même classe, classe hétérogène ; alors quelle pédagogie appliquer ? le mode resurgit (mutuel, simultané, individuel)

Quand le collège deviens unique on a plus de professeur bivalent
On organise l’ensemble d’une classe autour de la différentiation CAD la pédagogie différencié.
Normalement, la réussite sociale dépend de la réussite scolaire donc les élèves ont envie d’aller de plus en plus loin dans les écoles.

2. Essor des sciences humaines

- La question de l’éducation se sont des placer dans le domaines des sciences humaines.
L’éducation c’est les sciences de l’homme, on va avoir de la psychologie de l’éducation, de l’économie, de la sociologie, de la linguistique…
Mais un problème se pose : les sciences humaines sont plurielles : il n’y plus un seul regard possible sur l’homme. Il devient un éclatement, un morcellement.
Les compréhensions de l’éducation sont au moins juxtaposé et contradictoire.
L’éducation devient impossible à saisir totalement, il peut y avoir des sciences, des compréhensions possibles mais quelque chose manquera.
La pédagogie est un choix parce que quand on agit on privilégie un choix ; mais il est toujours possible de faire autrement.
Cela signe la fin de l’idée que l’on peut tout comprendre, tout saisir, a contrario de la théologie.
Les sciences humaines vont se vouloir émancipatrice de l’éducation.
En 1967 c’est le début officiel des sciences de l’éducation en université, sous la domination de la psychologie.

3. Dévalorisation de la pédagogie.
- La pédagogie deviens une discipline sous influence.
CAD elle a un statut subalterne (inférieur). La pédagogie ne peut plus prétendre de développer des savoirs. Il y a tout un corps de savoirs qui valent vraiment ; le vrai savoir est dans ce que dise les savant de l’éducation (psychologues, sociologues…). Les savoirs pratiques sont dévalorisés.
Le pédagogue doit savoir faire et parfois faire savoir. Il est indispensable qu’il sache les savoirs sur l’éducation mais ce n’est pas suffisant.
Etant sous l’influence des sciences humaines, il a du mal a se faire entendre, ses savoirs ne peuvent pas prétendent à la spécificité.

Est-ce que la pédagogie à disparue ?
Non ! Elle c’est émancipé, n’est plus sous la coupe de religion, ni de la philosophie. Elle est entré sous la coupe de la science et elle à réussi à se construire aussi de manière autonome.

Le mouvement de l’éducation nouvelle :

C’est un mouvement pédagogique qui est né au 20ème siècle et qui c’est épanoui entre les 2 guerres mondiale, il a décliné en 1950 au niveau des référence pratique, mais pas théorique. Exemples :
- Tenir compte des besoins de l’enfant
- Diversifié les rythmes des élèves
- Individualisé l’enseignement
- Varié les formes d’enseignement
- Ne pas instruire tout le monde de la même manière a partir d’un programme
- Evaluer les progrès des élèves.

Elle a éclaté dans tous les pays : FRENET en France, MONTISORRI en Italie, NEIL en Angleterre, COUSINET en France.
Cette éducation va s’encrer dans la modernité : elle dit « changer l’éducation, pour faire entrer l’éducation et le progrès dans la société ».

Le progrès de l’éducation, pédagogique = progrès de la société.
Et cela est possible grâce à la science ; le savoir faire de l’éducation nouvelle s’appuis sur le savoir certains de la science psychologique et sur la nécessité social et politique de l’éducation.

On est dans une efficacité pédagogique pour une société meilleur et plus juste.
L’éducation tel qu’elle est donné à ce moment la est un échec, on ne peut pas réduire l’éducation à l’instruction.

L’éducation nouvelle ;
- c’est lutter contre l’autoritarisme au nom de l’enfant ;
- Recherche de l’autonomie de l’enfant par la différenciation
- Recherche de l’enseignement plus concret, moins verbale
C’est une révolution de la pédagogie ; elle tourne désormais autour des enfants et plus des programmes.

Pédagogie et sciences de l’éducation

Qu’est ce que la pédagogie au regard des sciences de l’éducation ?

1. C’est un champ professionnel ? = la pédagogie peu designer les métiers de l’enfance. Education=enfance ; formation=adulte ; les sciences de l’éducation est un champ d’analyse.

2. C’est un champ disciplinaire ? = pas vraiment ; les didactiques essais de se constitué comme un champ disciplinaire. Elle va se substitué à la pédagogie par rapport a divers secteur du savoir.

3. Comme un objet ? = les sciences de l’éducation vont étudier la pédagogie comme objet, comme pratique, conception pédagogique ; elles sont un objet d’analyse des sciences de l’éducation, selon différentes méthodologie.

4. La pédagogie en tant que qualité ? = ex : « c’est un bon pédagogue » qualité d’n savoir faire, qualité d’une expérience.

5. La pédagogie comme position idéologique ? = on dit pédago : ensemble de concession de l’éducation centrer sur l’innovation, porteuse de changement de la société ; groupe qui rentre dans les rapports de force de la société, leurs ennemis sont les corps d’inspecteur, les républicains…

6. La pédagogie en tant que démarche spécifique ? = fait 3 choses :
- Un pédagogue est quelqu’un qui a des pratiques particulières
- Le pédagogue a des conceptions scientifiques (des savoirs en éducation)
- Le pédagogue a des convictions (système de valeurs)


Conclusion :
La pédagogie c’est l’articulation de l’action, conception, convictions, ce qui traduit les savoirs pédagogiques.
Les savoirs pédagogiques sont une chose et les savoirs en soit en son une autre.
Ces savoirs permettent des savoirs pour l’éducation en éducation et sur l’éducation.

Pour en savoir plus : ouvrage manifeste pour les pédagogues