cours semaine 3 suite
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Chapitre 2; Cinema et Audiovisuel scolaire
Perspectives historiques
. le cinema éducateur ( aprés la 2nde guerre mondiale)
. le monopole télévisuel (année 50-80) = état
. la video; une situation hybride (aujourd'hui) = prof
I-Le cinema scolaire
Les usages des lanternes magiques dans les conférences illustrées (XVIIIeme s. la bourgeoisie les mettait dans leur cabinet de curiosité), se developpent aprés le second empire dans les écoles. Images fixes.
L'histoire du cinéma scolaire reste à écrire car;
-le film de cinéma n'a jamais été considéré comme un document canonique.
-chaque nouvelle "vague technologique" efficace le souvenir de la précedente.
Des débuts prometteurs;
* un ingénieur de chez Pathé en 1905
"le cinématographe c'est le théatre, l'école, le journal de demain" ou encore "il faut songer dans les écoles et dans les lycées à utiliser ce kaleidoscope incomparable qu'est devenu le cinéma moderne"...
Au début du XX eme siecle, le cinéma est considéré comme un moyen d'éducation révolutionnaire.
* 1907 = dans les écoles primaires de la rue de Vitruve à Paris, 1ére utilisation du cinéma dans un cadre scolaire.
* 1915 = une commission extra parlementaire est créée pour étudier les moyens de developper l'utilisation du cinéma dans l'enseignement car écrit alors le Ministre de l'Instruction publique "au lendemain de la guerre ... il appartiendra à l'Ecole de hâter et d'accroître le developpement intellectuel et moral du pays" c'est de la propagande.
* 1927 = la cinémathéque coopérative de l'enseignement laïc est créée. Celestin Frenet en est à l'origine.
* 1929 = 10000 à 12000 appareils de projection existeraient dans les établissements publics.
II-Le temps des desillusions
* le "cinema educateur" a été un relatif insuccés.
Quatre hypothéses explicatives;
-le peu d'enthousiasme des pédagogues pour ce médium . Point de vu d'Alain dans "Propos sur l'éducation"; "l'ecole est un lieu admirable. J'aime que les bruits extérieurs n'y rentrent point. Je n'approuve point qu'on y accroche des choses à regarder, même belles...que l'enfant lise ou qu'i écrive. "
-les craintes des enseignants (désaisit de leur autorité pédagogique plus maître dans leurs cours et que les éléves soient trop dicipés et qu'il y ait le bazard)
-un manque de confiance des enseignants par rapport aux produits proposés.
-un matériel non standardisé et inadapté.
Perspectives historiques
. le cinema éducateur ( aprés la 2nde guerre mondiale)
. le monopole télévisuel (année 50-80) = état
. la video; une situation hybride (aujourd'hui) = prof
I-Le cinema scolaire
Les usages des lanternes magiques dans les conférences illustrées (XVIIIeme s. la bourgeoisie les mettait dans leur cabinet de curiosité), se developpent aprés le second empire dans les écoles. Images fixes.
L'histoire du cinéma scolaire reste à écrire car;
-le film de cinéma n'a jamais été considéré comme un document canonique.
-chaque nouvelle "vague technologique" efficace le souvenir de la précedente.
Des débuts prometteurs;
* un ingénieur de chez Pathé en 1905
"le cinématographe c'est le théatre, l'école, le journal de demain" ou encore "il faut songer dans les écoles et dans les lycées à utiliser ce kaleidoscope incomparable qu'est devenu le cinéma moderne"...
Au début du XX eme siecle, le cinéma est considéré comme un moyen d'éducation révolutionnaire.
* 1907 = dans les écoles primaires de la rue de Vitruve à Paris, 1ére utilisation du cinéma dans un cadre scolaire.
* 1915 = une commission extra parlementaire est créée pour étudier les moyens de developper l'utilisation du cinéma dans l'enseignement car écrit alors le Ministre de l'Instruction publique "au lendemain de la guerre ... il appartiendra à l'Ecole de hâter et d'accroître le developpement intellectuel et moral du pays" c'est de la propagande.
* 1927 = la cinémathéque coopérative de l'enseignement laïc est créée. Celestin Frenet en est à l'origine.
* 1929 = 10000 à 12000 appareils de projection existeraient dans les établissements publics.
II-Le temps des desillusions
* le "cinema educateur" a été un relatif insuccés.
Quatre hypothéses explicatives;
-le peu d'enthousiasme des pédagogues pour ce médium . Point de vu d'Alain dans "Propos sur l'éducation"; "l'ecole est un lieu admirable. J'aime que les bruits extérieurs n'y rentrent point. Je n'approuve point qu'on y accroche des choses à regarder, même belles...que l'enfant lise ou qu'i écrive. "
-les craintes des enseignants (désaisit de leur autorité pédagogique plus maître dans leurs cours et que les éléves soient trop dicipés et qu'il y ait le bazard)
-un manque de confiance des enseignants par rapport aux produits proposés.
-un matériel non standardisé et inadapté.
anatla- Messages : 16
Date d'inscription : 06/11/2008
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