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cours semaine 3

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Message  celine option3 Sam 18 Oct - 16:03

Pour rousseau : éduquer c’est respecter le nature des enfants.
L’avenir est devant nous, l’avenir de l’homme peut être meilleur et cela est à réaliser sur terre. L’éducation doit préparer à un monde meilleur, qui dépend de l’homme qui dépend de son éducation.

L’état se substitue à l’église pour l’éducation. Il y a donc conjonction (pensé) pour que l’éducation soit une affaire d’état.
Toutes ces idées préparent à 1889 la révolution.

Education, progrès, institution, tout cela s’articule ensemble.
Il se réalise une conjonction entre le progrès et l’éducation. Le vecteur principal du progrès est l’éducation.
Cela s‘opère dans un premier temps dans la philosophie. Education et progrès fonctionne ensemble.

La civilisation est en rupture avec la nature ; en particulier la nature humaine.
L’éducation c’est le moyen de dessiner le progrès de l’humanité.

IDEE de PARFECTIBILITE ; si on n’est pas éducable, l’éducation ne peut pas avoir lieu. Il faut y croire ; maintenant on dit éducabilité.
Cette idée nait à la confluence de deux choses, d’un coté le progrès de l’autre le sensualisme.
Progrès des sciences, de l’art, des lettres… grâce aux progrès la foi de l’homme s’améliore.
La philosophie devient confiance à l’homme plutôt que méfiance de l’homme. Le progrès est visible, l’occident est en avance.

Le progrès ce voit par contraste. L’humanité va vers un monde meilleur, cette théorie va en prendre un coup mais il faut attendre le 20ème siècle.
Ce progrès passe par la mise en œuvre de valeur positive : la tolérance, la liberté de penser, l’anti esclavagiste monte.
La tradition philosophisme est rationaliste.

SENSUALISME OU EMPIRISTE (LOCKE Condillac)
D’où viennent les idées ? (ex : de la chaise en cours)
Dans la tradition rationaliste et intellectualiste ; nos idées viennent de notre intellect qui est construit par les idées de ce moment.
D’où viennent ces choses ? : Platon : image d’une projection ; les idées sont première sur les choses.
Et les empiriste et sensualistes disent que si c’est une chose ; c’est que je la vois, je la touche… c’est l’expérience des 5 sens qui m’amène à unifier des éléments que je vais appeler ex : chaise.
La connaissance du monde est a construire.

Le développement des sciences, sur le modèle des sciences expérimentales, les sciences deviennent premières.

Les sens se produisent par des sensations, et produise des connaissances supérieures.
Les lumières et les encyclopédiques rejette les idées nées elles sont construits par les expériences et les sens. Donc il peu y avoir une évolution des idées.
Le développement des idées par l’éducation ; des moyens pédagogiques, puisque nous sommes éducable et qu’il y a du progrès dans l’éducabilité.

L’éducation elle-même sera construite
Et donc il y a perfectionnement de l’homme, de l’éducation et de la pédagogie.

L’homme nait en sachant rien mais il est capable d’apprendre, la perfectibilité de chacun renvoi à la perfectibilité du monde.
Les pédagogues deviennent nécessaires ; il exploite les possibilités de l’enfant. L’enfant devient un être à faire évoluer ; sinon il reste dans le moins et dans le rien.
La pédagogie devient indispensable, l’humanité va dépendre de l’éducation.
Cette idée en fait progresser une autre : l’éducation est pour tous !
Il y a des avis qui divergent mais c’est l’idée qui en ressort.

Pourquoi faut-il éduquer ?
Parce que l’homme à la naissance est dépourvu.
L’éducation s’appuie sur le sensualisme ; les sens demandent un apprentissage. (mieux sentir, mieux voir…) l’intelligence de l’homme se construit par son corps.
L’histoire des sauvages : homme de la nature, homme non éduquer ; cela montre que nous avons beaucoup progressé, c’est la preuve que l’éducation n’est pas veine. Cela montre la culture civilisé.

A l’époque des lumières, l’instruction deviens d’utilité publique. C’est un tournant capital, car nos idée vont se construire sur l’idée de la pédagogie nécessaire, le progrès par l’éducation, la primauté de l’expérience, la nécessité de l’éducation, l’idée de la perfectibilité.

L’éducation se met au cœur de la société pour une société meilleur, en tant que développement de la société et promesse pour la société. C’est un combat des idées gagné par les faits du 19 ème siècle.

19ème siècles épanouissement de la modernité
Jules ferry : politique : donc affaire politique et pédagogique.
Siècle pédagogique majeur ; siècle de politique et pédagogue. Dans l’ensemble des pays en développement, les questions d’éducation sont au cœur des pratique.

L’école primaire deviens obligatoire, c’est la mise e place de la formation des maitres.

BUISSON : pédagogue

Les gouvernements de l’Europe vont se saisir de l’éducation ; il donne corps aux programmes scolaire, organise le programme scolaire ; l’état se saisi de l’éducation au nom des principes de l’efficacité. Donc avec des critères stables et définitifs de l’éducation. Il va chercher cela dans les sciences.

Il y a une nature humaine, connu par les sciences et en appliquant les principes de la science, l’éducation devient efficace, au nom du respect de la nature humaine. L’éducation devient vraie. Les pédagogues vont scruter la nature humaine.

Le 19ème siècle c’est cette tentative de mettre en place un système scolaire solide, parce que fondé sur la pédagogie, fondé par la science. Tout est vrai, cela donne une société meilleure.
La pédagogie est la « fille » de la religion, de la philosophie ; et elle se retrouve grandissant au fil du temps, « fille » de l’état et « fille » de la science. L’éducation devient rationnelle. La pédagogie s’impose sur la scène éducative. La pédagogie c’est l’application des loi de la raison au processus éducative. La pédagogie devient la science de l’éducation.

Le maitre devient de plus en plus maitres de enfants, ils deviennent des professionnel de l’éducation.

Quels sont les caractéristiques du savoir pédagogiques ?
On parle de psychologie qui se veux une science mais plus ou moins ; psychologie philosophique. Ex : l’introspection, ou la psycho expérimentale. (méthode d’exploration de la nature)
Fin 19ème la pédagogie passe sous la coupe de la psycho, la psycho deviens la mère de la pédagogie, car c’est la science de la nature humaine, elle permet de connaître l’enfant, et les savoirs sur l’enfant sont utile dans la pédagogie.

Jusqu’ici la pédagogie est situé (lié) dans un monde de tâtonnement, monde empirique, cela est finit, les savoirs de la psycho doit en être dans les savoirs pédagogie qui doivent être vérifié, rationnel, réglé par les sciences.

MARION en 1887, Sorbonne, cours magistral sur la science de l’éducation.
1889 : premier laboratoire de psychologie
Les psychologues viennent observer les enfants dans les classes.
C’est a ce moment là que DURKHEIM (père de la sociologie) essai d’enterrer la pédagogie des psychologues, mais ca ne fonctionnera pas car ils sont dominants.

Les 2ouvrages pédagogiques du 19ème siècle :
MARIE CARPENTIER (elle est à l’origine des écoles maternelles)
« Conseil pour la direction des salles d’asile »
SŒUR RENAULT « les manuelles des écoles… » en 1866
La moitié des instits sont des sœurs c’est la preuve que l’église est encore présente.
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