cours semaine 2

Au 14ème siècle Guerre des rois, des princes…
Les savoirs s’autonomisent, ex : la physique devient un monde à part. il prennent leurs indépendances. Université en développement, vie intellectuelle.

C’est aussi SAINT CASSIEN (un martyr de l’éducation)
Avec l’arrivé des protestants le 14eme siècle est très violent, notamment la guerre de cent ans.
Ce qui disparaît c’est l’idée de la chrétienté unie, elle vole en éclat. De plus la religion n’est plus le seul système de référence.
Les rois et les papes ne s’entendent plus ; les sciences se défont de la religion. Il y a une instance différente dans la société. Il y a séparation entre la raison et le mysticisme.
Le savoir expérimental prend le dessus.

B. La renaissance 15eme 16eme 17eme

Le savoir de l’expérience, triomphe des savoirs ; émerge la question de l’éducation.
Nouveau départ : la reforme et la contre reforme (=réponse des catholique à la reforme)
On retiendra LUTHER comme protestant.
Le désir de savoir se reprend. L’humanisme CAD la connaissance de l’homme et le naturalisme CAD la connaissance du monde de l’univers apparaît.
Les deux ne sont plus soumis à la transcendance (dieu). On rentre dans des savoirs immanents (ce qui est sur terre)

L’homme a de plus en plus envie de changer, lui-même et le monde. « L’avenir reviens sur terre »
Les conditions de vie change fortement. Les humanismes redécouvrent les textes anciens (revenir à la connaissance des textes gréco-latine) il y a donc réactualisation des textes.

On rentre dans l’époque des grandes découvertes ; d’autres frontières, d’autres manière de vivre (boussole, imprimerie, poudre à canaux). Dieu ne suffit plus à l’homme, il devient un obstacle à la connaissance.
C’est aussi l’époque de la philosophie avec le retour de Platon, d’Aristote, des moralistes comme Montaigne ou Râblait.


Grande rupture de la réforme
Elle est opposé à la théologie classique ; mais aussi aux humanistes car ils ont tendance a mettre dieu de coté. Les reformé reproche aux humaniste de se suffire a eux même.

Contre réforme 17ème siècle
Elle s’appuis sur l’autorité et l’absolutisme.
C’est la résurgence du catholicisme, la reprise en main de l’église de l’ensemble des savoirs.
Théologie de ST AUBIN (Théo classique)
Le mouvement vient de Rome, appuyer par la royauté. Il est un roi de droit divin.

Résistance à la contre reforme = protestantisme (libre interprétation de la bible)
C’est l’émergence des libres penseurs comme MARCHIAVEL.
« il pense avant tout l’homme, un peu le monde, contre l’église »
Ce qui est recherché ; un principe d’unité, de sagesse pour l’existence.
Descartes essai de trouver un principe d’ordre dans le monde principalement sur l’ordre de la raison.
C’est aussi le déploiement des savoirs mathématiques et expérimentaux ; en dehors des universités.

1650 triomphe du nationalisme
La raison de l’homme deviens première.
Tout cela est possible car il y a de nombreux changement dans le monde environnent :
- Grande découverte
- Donc commerce, découverte économique
- Facteur politique / géo économique : les grandes nations émergent.
- Eclatement de l’église
- Découverte de l’imprimerie (GUTENBERG)

L’éducation s’autonomise ; les questions d’éducation deviennent intéressantes, cela ce marque par :
- De grande production pédagogique
- La création d’établissement d’éducation.

La pédagogie devient la connaissance des systèmes et du fondement de l’éducation. Le mot éducation apparaît, synonyme de l’institution.

Pulsion éducative marqué par un mouvement contradictoire :
Optimiste : RABELAIS
- Plus de découverte
- Plus de moyens technique
- Plus de possibilité
- Plus de développement
Pessimiste :MONTAIGNE
- Monde en guerre
- Guerre de religion
- Monde cruel –monde mauvais
- Donc éduquer à la survie, sagesse amer.
- Apprendre a bien vivre et à bien mourir
-
Mais l’homme est éducable ; la formation devient une valeur.

La renaissance est avant tout l’œuvre des italiens.
- Apparition des manuelles scolaires (ERASME)
- Reforme avec LUTHER qui s’intéresse aux questions d’éducation
Ses ennemi sont l’église catholique et contre l’université.
« Chacun peu interpréter les écritures » (donc il faut lire et écrire)

1517 : réforme / reforme aussi de l’éducation
Il commence a traduire les texte en allemand, donc la langue maternelle.
Il demande l’école élémentaire pour les enfants, et l’école secondaire pour l’élite.


La reforme dont va combattre l’humanisme. (plus sous le 17ème siècle)
L’éducation passe entre les mains des ordres religieux :
Les jésuites en premier : Ex : les jésuites ouvrent 50 collèges en Europe.

Les oratoriens : la langue française devient la base des études (la version contre le thème. langue remis en langue maternelle)

Les frères des écoles chrétiennes (ce sont les diffuseurs des écoles primaires) JB DE LA SALLE 1680. Importance en pédagogie car ils sont moderne en éducation. Ex : connaissance par les sens
Leur pédagogie est plus encré dans la réalité. Il y a de plus en plus le développent de l’éducation physique, l’hygiène, classe en français (lecture, grammaire, orthographe…)
Le but est d’instruire le peuple dans une perspective sociale et religieuse. Ils développent les écoles populaires gratuites, cela est une influence capitale.

Les JANSENISTES (port royal) : ils croient que le monde est le lieu du mal et il croient à la prédestination. C’est la pédagogie de l’isolement ; l’éducation des enfants dans une moral austère et minutieuse. Mais ils développent des méthodes pédagogiques de la lecture, de l’écriture et des langues très avancé. Ils ouvrent des petites écoles, avec l’apprentissage du français avant le latin. Ils inventent la narration, ils créent des manuelles scolaires. Ce sont des inventeurs pédagogique sous le pessimiste. Influencer par DESCARTES, PASCAL et RACINE.
Mais les jésuites n’acceptes pas les jansénistes, ils les détruiront.


C. la modernité 18ème 19ème 20ème siècle

Mise en place 18ème
Les temps moderne c’est un mouvement historique, de rupture, de grand changement.
Cette modernité éclate en ce 18ème siècle c’est la mise en place d’une pensée individualiste et rationaliste à travers les lumières. C’est aussi la mise en place d’un état monarchiste et centralisé, on est dans un type de savoir ou l’on privilégie les sciences physique, naturelle, et le développement de la technologie.

Au 19ème siècle
Mise en place d’un état Bourgois et état démocratique, progrès des sciences, le société évolue par les savoir scientifique. Le travail industriel est nationalisé, c’est aussi l’essor de la démographie. Il y a un important développement de la société industrielle ; extension de la ville : société urbaine ; et développement des moyens de communication.

L’évidence de la modernité au 20ème
La modernité est devenue un mode de vie, changement, l’innovation est devenue une règle de la société ; deuxième caractéristique : fondé sur l’instabilité de subjectivité, société de crise permanente.
Les valeurs sont différentes : productivité, rationalité, promotion de l’individu, quête de l’autonomie.
C’est la mode de l’individualisme = mode de masse.

La construction de la modernité : JJ ROUSSEAU
Le 18ème est un grand siècle pédagogique
HELVETUS : 1772 « de l’homme, de ces faculté intellectuelle et de l’éducation »
Il faut faire une science morale pour l’éducation. La morale et la pédagogie deviens une science. Il croit au pouvoir de l’éducation.
Un des grands problèmes de l’éducation : qu’est ce qui fait que nous somme différent ?
Helvétus pense que ce n’est ni les influence social ou physique, elle tiens des différences entre les instructions reçu.

La culture prime sur la nature
ROUSSEAU « l’Émile ou de l’éducation » changement pédagogique important.
Il symbolise la lutte entre les penseurs de l’église.
Les jésuites chassé le français c’est le signe que l’église à perdu. Les lumières vont lutter contre l’influence des ordres religieux.
L’EMILE = l’enfant est placé au centre de l’éducation, c’est le cœur du système éducatif.
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